jeudi 2 mars 2017

Les robots de service



Roméo, le futur robot assistant des personnes dépendantes.

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 L’entreprise française Aldebaran Robotics leader mondial en robotique humanoïde a conçu Roméo, ce robot assistant, dédié aux personnes dépendantes. Son rôle est double, il aide les personnes âgées dans leur vie quotidienne et il permet de lutter contre l’isolement des seniors en leur apportant soutien et sympathie. 

 

Roméo, un robot comme un humain

Du haut de ses 1m40 et de ses 40kg, Roméo est devenu un réel compagnon de vie. Il apporte son aide quotidiennement aux personnes en perte d’autonomie. En effet, Roméo a été conçu pour apporter et porter un objet, ouvrir les portes, attraper des objets dans les placards, monter les escaliers… Il fait également office d’agenda car il est capable de retenir des RDV, la prise de médicamentent… et cela par une simple conversation entre l’humanoïde et la personne.


Comment est conçu Roméo ?

Roméo est programmé pour effectuer des tâches qu’une personne dépendante à de plus en plus de difficulté à faire : Il agit tel un humain.
Il agit en plusieurs étapes : tout d’abord, il capte les informations (taille, environnement, corpulence…) grâce aux caméras qui sont dans les yeux de Roméo. Ensuite il scanne et calcule les mouvements.

 Zora, la solution robotique au service des seniors
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le petit robot humanoïde intelligent NAO agrémenté de la solution Zora, va bientôt circuler parmi les résidents .
 

« Les humanoïdes nous envahissent, n’ayez crainte, ils sont bienveillants ! » plaisante l’édile lors d’une conférence de presse sur le sujet. Selon le maire  André Santini, , « la robotique apparaît de plus en plus comme une solution adéquate pour nos seniors, c’est pourquoi il faut encourager les initiatives ».

Maria, 85 ans, le trouve « extraordinaire, et beau à regarder. Il sera utile de discuter avec lui, cela nous enchante, nous les résidents ». Un constat partagé par Sidonie, aide-soignante d’une quarantaine d’années. « Les résidents ne se sentent plus seuls, c’est une présence pour eux car souvent ils n’ont pas de famille. C’est un véritable progrès ».
 
 
 

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